Charlotte Archdeacon
Je suis un : [x] personnage inventé [ ] scénario
Toi derrière l'écran
Ton pseudo/prénom : Galuche/gaelle
Ton âge : 22 ans
Comment t'es arrivé là ? prd
Que penses-tu du forum ? il est sublime
Présence : je passe mon permis, mon bac et je suis responsable de salle. Donc tout dépend des semaines
Un truc à dire ? comme je l'ai dis dans la partie invité je reprends le rp après de très longs mois d'arrêts donc soyez indulgents
Informations :
Nom de famille : Archdeacon mais c'est mon nom de famille de femme mariée, mon nom de jeune fille est Dunkan. -
Prénom(s) : Charlotte. -
Lieu de naissance : Basildon en Angleterre -
Nationalité : australienne -
Date de naissance : 7 décembre 1985. -
Âge : 31 ans. -
Orientation sexuelle : hétéro -
Statut civil : mariée -
Métier : aucun. -
Groupe : apple street -
Date d'arrivée dans le quartier : 21 juin 2016.
Avatar utilisé : Sophia Bush.
Caractère/Physique :
Physiquement, je ne me trouve pas exceptionnelle, je suis relativement petite, je complexe beaucoup sur mes cuisses et mes genoux. On dirais des petits poteaux, c'est très laid mais bon on s'adapte. Mais attention, j'aime quand même des trucs chez moi genre... Mes yeux! Je les aimes bien, ils sont mignons mes yeux marrons caca, non?
Niveau caractère, je suis une bonne grosse chieuse qui s'assume complètement. Je passe mon temps à gueuler et à me plaindre, ça fait mon charme que certains disent. Moi je pense que c'est juste inssuportable mais c'est plus fort que moi, bizarre hein? J'ai aussi la main un peu légère sur la bouteille quand j'ai le moral à zéro et ça arrive relativement souvent en ce moment. Je fume aussi beaucoup, beaucoup trop même. Je le sais et j'aimerais arrêter ou au moins ralentir mais c'est devenu tellement habituel que j'en ai pas la force.
Histoire :
Chapitre I.
L'éducation est pour l'enfance ce qu'est l'eau pour une plante.
7 décembre, 17h12. Je pointais le bout de mon nez. Toute bleue, toute fripée, toute dégueulasse. Maman s'amuse souvent à dire que dès ma naissance, elle aurait dû se douter que j'allais être une chieuse qui passe son temps a hurler, à peine sortie de l'utérus de ma mère, j'hurlais déjà à donner des migraines aux médecins présents. Ma naissance est encore une fois, selon ma mère, une bénédiction de Dieu. À quarante ans, elle n'espérait plus donner la vie un jour et puis, j'ai débarqué comme un cheveu sur la soupe sans que personne ne s'y attendent, pourtant mes parents étaient plus que ravis. Ils n'avaient pas les moyens de m'élever, ils en avaient conscience, mais il était hors de question pour ma mère d'avorter quand elle a appris qu'elle était enceinte de moi. Elle était femme de ménage dans un hôtel tandis que mon père était simple mécanicien, avec leurs bas revenus ils avaient déjà du mal à payer leurs loyer chaque mois donc personne ne les croyait capable de s'occuper d'un enfant et pourtant... Pourtant, avec moi ils s'en sont très bien sortis. C'est vrai que je n'avais pas les dernières chaussures à la mode et mes cheveux étaient coupés par ma mère donc c'était parfois catastrophique, mais mon enfance et mes parents je ne les changerais pour rien au monde. On ne partait pas en vacances, mais mes parents m'aimaient comme jamais je n'ai vu des parents aimer leurs enfants. J'ai les meilleurs parents du monde, cherchez pas à faire la comparaison, je sais d'avance que j'ai gagnée la compet'.
Chapitre II.
Le premier amour est confiant dans ses désirs, timide dans ses plaisirs.
19 juin. Je ne me rappelle plus de l'heure, pardonnez-moi. Je me souviens encore très clairement de ce jour. Le soleil était très timide ce jour-là, je portais un chemisier noir chopé dans un marché, un jean bleu déchiré au niveau du bas et des baskets qui prenaient l'eau. Lui, portait une veste en cuir qui semblait être du véritable cuir de vache, un jean de marque, des baskets blanches qui semblaient terriblement neuves. Quand mon regard a croisé le sien dans cette boîte de nuit, mes copines n'existaient plus et le reste du monde non plus, même la musique ne tournait plus. Je ne voyais plus que … Lui. J'en avais déjà croisé des beaux-mecs, mais jamais comme lui. Pendant bien deux heures, nous nous sommes cherchés du regard sans pour autant se rencontrer. C'est au bout de deux heures que mes copines m'ont poussées à aller le voir pour l'inviter à boire un verre. « La galanterie on s'en fous » qu'elles me disaient quand je cherchais des excuses pour ne pas aller le voir, je voulais que ce soit lui qui vienne. Mais j'ai fini par y aller. Joshua. Même son prénom était beau. On s'échangeait nos numéros en se promettant de se revoir bientôt avant de se quitter pour la soirée. Le lendemain, je recevais un message de lui me proposant d'aller boire un verre. J'acceptais avec plaisir et appréhension. Je n'étais jamais sortie avec quelqu'un que je ne connaissais pas. Et si on n'avait rien à se dire ? Cette soirée fût à ma grande surprise magique. En une soirée j'étais tombée amoureuse de lui. Après quelques mois de relation nous décidions de nous marier dans le plus grand secret, juste nous et nos parents. Personne d'autre. Je filais le parfait amour, la vie parfaite. Il allait bientôt devenir un grand politicien et des tonnes de femmes le voudraient, mais c'est avec moi qu'il était uni. Deux ans après notre mariage, sa carrière commençait vraiment à devenir folle, son père qui était déjà un grand politicien connu lui proposais un poste très important en Australie. Il me demandait de l'accompagner pour qu'on passe plus de temps ensemble puisque jusqu'à ce jour, il vacillais entre l'Australie et l'Angleterre pour être avec moi. J'acceptais sans trop me poser de question, j'avais même hâte qu'il me propose ça. On vivrait dans notre chez nous et chaque soir, il serait là. Je ne serai plus seule. J'emballais donc mes affaires et quittait ma petite ville natale, mes parents et mes amis pour vivre la vie dont toutes les petites filles rêvent.
Chapitre III.
Le mariage est le miracle qui transforme le baiser d'un plaisir à un devoir.
L'Australie. Ce continent tellement grand et petit en même temps. Ce continent que jamais je n'aurais pensé fouler un jour. J'y étais. J'avais une grande maison, des gens pour s'occuper de tous les trucs chiants, je croisais chaque jour du monde mais j'étais terriblement seule. Joshua ne rentrait pas comme je l'imaginais chaque soir. Joshua passais son temps a bosser ou à changer de continent. Joshua passais son temps a m'appeler pour me dire qu'il serait en retard pour le dîner. Joshua passais son temps a être absent. Je ne travaillais pas et ne connaissais personne, je me sentais terriblement seule. Avec le temps, j'avais fini par me lier d'amitié avec les gens qui travaillaient pour Joshua et moi dans notre maison. Il y avait Mélanie, une jeune française qui bossait pour payer ses études et puis Ian, le jeune homme qui s'occupait de notre jardin. Je les aimais beaucoup, mais les années sont passées et Mélanie est rentrée chez elle son diplôme en poche et Ian à quitté son boulot pour faire quelque chose de plus passionnant. Moi aussi j'aurais tout donné pour faire quelque chose de plus passionnant, mais je n'avais jamais travaillé de ma vie donc pour trouver un petit boulot sans expérience c'était compliqué. J'errais donc seule dans la maison, sombrant doucement dans la bouteille de vin, puis dans la bouteille de vodka jusqu'au jour où je décidais de dire stop. Je devais partir. Après avoir préparé mon coup depuis quelques mois, je décidais de quitter Joshua et de partir m'installer dans une petite maison en colocation dans le quartier de Willow Lane. Je laissais un message sur la messagerie de Joshua qui, une fois de plus, n'avait pas répondu et je partais sans regarder derrière moi.
Chapitre IV.
Rien n’est permanent, sauf le changement.
Une nouvelle vie. Voilà ce dont j'avais besoin. Bien sûr Joshua avais essayé de me recontacter mais je lui avais demandé de me laisser savoir ce que je voulais pour le moment et il l'avait très mal pris. Divorcer ? Pour le moment c'était pas mon but, j'avais juste besoin de retrouver ma vie, d'être de nouveau moi. Et depuis un mois maintenant, c'est ce que je m'efforce de faire. Pour le moment, je vis sur l'argent que Joshua me laissais chaque mois. J'en ai encore une partie de côté, mais pour combien de temps ? Dans peu de de temps je n'aurais plus rien et je devrais trouver un boulot afin de payer mes factures. C'était une nouvelle vie de A à Z.