June Atkins
Je suis un : [X] personnage inventé [ ] scénario
Toi derrière l'écran
Ton pseudo/prénom : Sparka
Ton âge : 24 years old
Comment t'es arrivé là ? une amie m'a soufflé l'adresse du forum
Que penses-tu du forum ? Il est très joli
Présence : J'espère que je ne serai pas trop présente
Un truc à dire ? De l'amour, de l'amour, de l'amour!
Informations :
Nom de famille : Atkins -
Prénom(s) : June Dolorès -
Lieu de naissance : Londres -
Nationalité : anglaise -
Date de naissance : 15 juin 1989 -
Âge : 28 ans dans quelques semaines -
Orientation sexuelle : Hétéro -
Statut civil : Célibataire -
Métier : pianiste
Groupe : Chestnuts-
Date d'arrivée dans le quartier : 20 juillet 2016
Avatar utilisé : Keira Knightley
Caractère/Physique :
Volage, elle est de celle qui vagabonde dans le monde sans jamais se poser. Son coeur a déjà souffert l'atroce douleur du rejet et s'est promis de ne plus jamais repasser par là.
Hautaine, elle vient de ce qu'on appelle la haute société anglaise. Elle a fait son bal des débutantes, a fréquenté les ministres et même participé à des galas auxquels venaient d'éminents princes ou autres personnes d'Etat. Pour elle, la célébrité ne représente rien, elle y est confinée et n'a que du mépris pour ceux qui pensent que les riches sont plus intéressants que les pauvres. Toutefois, elle ne fricote pas avec le petit peuple pour autant. Elle sait d'où elle vient et ne compte pas se salir en se descendant à un niveau indigne du sien.
Manipulatrice, le passé lui a appris qu'il vaut mieux ne pas être trop honnête avec les gens. L'honnêteté ne rapporte que des troubles et des problèmes. Il vaut mieux entourer son coeur d'une barrière de barbelés géante et manipuler les gens qui pensent avoir une chance d'y accéder.
Fine, elle ne joue pas avec son poids, elle sait que son atout séduction demeure dans ses traits fins et parfaits. Végétarienne, elle ne mange que rarement des produits laitiers. Mais lorsqu'elle est dans de grands restaurants, elle se laisse tenter par quelques plats gastronomiques si l'envie l'en prend. Mais jamais de viande, la cruauté envers les êtres vivants la révolte. Les êtres vivants certes, mais pas envers les êtres humains qu'elle dévore du petit déjeuner jusqu'au dîner.
Tatouage. Elle le regrette. Quelque part sur le haut de son sein droit se trouve un symbole difficile à comprendre, c'est une lettre qui se termine dans le signe de l'infini. Personne ne sait ce que représente ce R voilé du sceau de l'éternité et elle tente de l'oublier. Pour son plus grand bonheur, elle était suffisamment stone au moment de se le faire graver que pour oser se dévêtir et laisser le tatouer lui dessiner cette marque du passé suffisamment bas sur la peau. Ainsi, même en portant des décolletés, la marque n'est pas visible.
Café, elle ne jure que par ça. Anglaise de pure souche, elle a été habituée au thé. Mais le café est devenu son péché mignon une fois qu'elle a emménagé en Australie. Le thé c'est aristocratique, le café c'est normal. Mais elle ne boit que du café italien, serré et avec une tonne de sucre. D'ailleurs, elle mange énormément de pâtisseries françaises, de viennoiseries et autres desserts. Elle a dû se calmer récemment par crainte d'en arriver au diabète, ceci dit elle continue à grignoter en cachète.
Histoire :
Jeunesse éternelle. Ils l'ont appelée June. Parce qu'elle était née au mois de juin. Si elle était née en août, probablement que la demoiselle aurait frisé l'apoplexie en découvrant qu'elle avait un prénom de garçon. Mais les choses s'étaient bien alignées. June était un bébé tout rose, tout beau, parfait. Et la perfection, c'était le créneau des Atkins. Ils aimaient que tout soit parfait, que tout soit dans l'ordre et que personne ne sorte des rangs. La jeune demoiselle devait sourire quand ils recevaient des gens et faire des courbettes devant ceux qui avaient l'étiquette d' "importants". Papa Atkins était ambassadeur et avait toujours plein de voyages à faire. C'est ainsi que June se retrouvait seule avec sa mère dont la seule préoccupation était l'apparat de sa maison et son grand frère, trop occupé à parfaire ses connaissances en politique pour passer du temps avec la dernière née. Une erreur d'agenda d'ailleurs, les Atkins ne souhaitaient pas de second enfant, ils avaient déjà leur fils prodige. Pourquoi avoir gardé la petite fille? Un caprice du père, une envie secrète d'avoir une fille. Evidemment, c'était une lubie ridicule, il ne pouvait le dire haut et fort à sa femme. Mais il avait réussi à avoir gain de cause, pour le plus grand malheur de l'enfant à naître. Seule et incomprise dans ce monde d'insipides superficialités, June rêvait de découvrir d'autres horizons. Elle avait quelques amis dans son école privée, quelques rêves et quelques coins bien à elle à Londres. Bien que fort seule, elle s'efforçait de sourire pour cacher les peines de son âme. Tout ça, jusqu'à ce que l'ambassadeur obtienne un rôle plus important à jouer, à l'autre bout de la planète. En Australie. June avait seize ans. Déracinée, son sourire tendit à s'effacer. Comment oublier les plaisirs de son Angleterre natale? Comment oublier le petit monde douillet qu'elle s'était efforcée de se construire en dépit de ses souffrances intérieures? Mais personne ne pouvait comprendre ce qui se passait dans l'âme de l'adolescente, personne ne le remarquait même. Elle avait crié pour qu'on la laisse avec Andrew, son frère, à Londres. Mais elle était mineure et il était hors de question de risquer la réputation des Atkins en la laissant sur son propre compte là-bas. Elle fut embarquée de force.
Au revoir innocence Ils avaient tort de penser que c'était une amourette sans lendemain. Ce n'était pas du tout une amourette. Au début, il ne s'agissait que d'un jeune homme énigmatique qui avait suscité l'intérêt de l'élève blasée qu'elle était. Si elle l'avait défié de faire quelque chose de nouveau avec elle, c'était pour le plaisir de l'adrénaline. Dans le confort de sa vie de petite riche prétentieuse, elle s'ennuyait. Elle ne pensait pas que quiconque pouvait la sortir de cette vie qu'elle jugeait misérable, c'est ainsi que Rhett avait capté son attention. Il ne semblait pas se soucier des attentes de la société, il était plutôt du genre... libre. Et elle aimait cela, elle aimait l'idée qu'en le fréquentant, elle pourrait lui voler un peu de cette drogue douce appelée la liberté. Mais voilà, en parlant de drogues, les deux jeunes gens avaient aussi trouvés que la plus facile des manières d'échapper aux contraintes de leurs vies était de planer bien loin. Et si c'était libérateur, c'était aussi un lien unique qui se créait entre eux. Elle tombait amoureuse de lui. Pas parce qu'il était beau ou qu'il avait de quoi séduire n'importe quelle fille. Pas parce qu'il était intelligent. Mais parce qu'il était lié à elle d'une manière qu'elle même ne comprenait pas. Il la comprenait, c'était ça. Tous deux avaient besoin l'un de l'autre tout comme un junkie a besoin de sa came. Ils se droguaient ensemble pour le seul plaisir de faire quelque chose d'interdit ensemble, pour repousser les limites. Et ces limites tombaient une à une. Une soirée, un joint, une ligne de coke, un tatouage à l'unisson... et pourtant leurs sentiments demeuraient refoulés. Ils n'avaient pas besoin de se les dire, ils savaient que ça grandissait en eux. Et plus ils devenaient fort, moins leurs proches avaient de contrôle sur eux. Seulement, le destin n'avait pas dit son dernier mot. Et voilà que June fit une overdose. Une piqûre de rappel très amère pour Rhett qui écouta la demande autoritaire de l'ambassadeur Atkins. Une injonction à ce qu'il reste loin de sa fille. June n'en savait rien, elle savait juste que Rhett avait pris ses distances, il la repoussait, ne répondait plus à ses messages. Il ne l'aimait donc pas. Il avait compris ses sentiments à elle et avait décidé de mettre fin à leur petit jeu. Mais elle était en manque, en manque de lui et elle ne pouvait se retenir de le supplier de lui accorder une chance. Elle s'humiliait alors qu'elle était mille fois plus riche, plus douée que lui aux cours, etc. Son égo mourrait et lui ne voulait même pas lui répondre. Elle s'est senti mourir. Et son coeur est mort, réellement mort, en apprenant qu'il sortait avec quelqu'un. Il n'y avait jamais rien eu de vraiment physique entre eux. Ca les avait tué de se retenir mais ils n'avaient pas osé franchir cette dernière limite. Et voilà qu'il était avec quelqu'un d'autre. Et elle ne pouvait rien faire, ses parents l'avaient remise dans une école privée pour ses dernières semaines de cours. Par après, elle décida de fermer son coeur à tout. Le plaisir ne ferait plus partie de son monde, et l'amour encore moins. Rhett lui avait montré qu'il était impossible d'aimer sans se faire mal. Elle avait failli en mourir, au propre et au figuré, et rien ne pardonnerait ça.
Souffre coeur, souffre, je te laisse mourir Froide et charismatique, je vous présente la nouvelle June Atkins. Grande pianiste de renom, tout le monde connaît la demoiselle que rien n'arrête. Appuyant sur les touches du piano avec force et virulence, les gens s'émerveillent de voir que la passion qui l'anime lorsqu'elle joue est totalement absente lorsqu'elle vous parle. Indifférente à tous ceux qui lui adressent la parole, elle les snobe avec un mépris certain. Elle ne joue que parce qu'elle aime ça mais la dame n'a pas besoin de ses revenus de pianiste pour vivre, elle est riche de naissance. Sa demeure fait de l'ombre aux autres du quartier et elle est rarement appréciée des gens qui la côtoient. Probablement parce qu'elle prend un malin plaisir à dénigrer tout le monde et qu'elle est une reine des potins. Par contre personne ne sait rien sur elle. Elle fait la une des journaux mais rien de concret n'apparaît à son sujet. Sauf dernièrement où une rumeur non officielle circule... il serait possible que la demoiselle fasse l'objet de fiançailles arrangées avec un riche sénateur américain vivant à Brisbane depuis plus de dix ans. Personne ne sait si c'est fondé et la famille de l'intéressée élude la question. Quant à l'intéressée elle-même, tout le monde sait qu'il est inutile de l'interroger, elle ne répondra pas. Et c'est pour cela qu'elle s'est retirée en banlieu, à Willow Lane plus exactement. Pour éviter les regards curieux du centre ville, pour ne plus croiser les idiots qui lui demandent des autographes à chaque fois qu'elle regarde dehors. Et puis, cela faisait longtemps qu'elle désirait se retirer quelque part, avoir un chez soi plus stable. Juste elle et son piano. Elle et son piano, croyait-elle...
Infos en plus :
Je souhaite des colocataires :non, certainement pas.
Je souhaite être pris en charge à mon arrivée dans le quartier : non
Code pour le bottin : - Code:
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KEIRA KNIGHTLEY <span class="pris">▬</span> June Atkins