Talia A. Beaugox
Je suis un : [X] personnage inventé [ ] scénario
Toi derrière l'écran
Ton pseudo/prénom : Hypnotic'Song
Ton âge : 24 ans
Comment t'es arrivé là ? par une annonce sur Facebook
Que penses-tu du forum ? Très joli !
Présence : Pour le moment, je peux me connecter tous les jours
Un truc à dire ? /Informations :
Nom de famille : Beaugox -
Prénom(s) : Talia Alice -
Lieu de naissance : Brisbane -
Nationalité : Australienne -
Date de naissance : 6 août 1992 -
Âge : 24 ans -
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle -
Statut civil : Célibataire -
Métier : Programmeuse -
Groupe : Orange -
Date d'arrivée dans le quartier : 1er octobre 2016
Avatar utilisé : Candice Accola
Caractère/Physique :
Le caractère de Talia est à l'antipode de ce à quoi elle ressemble. En effet, les stéréotypes que évoqués en voyant une jeune fille blonde aux yeux bleus sont plutôt du type "barbie superficielle". Mais Talia en est loin. Elle n'est pas vraiment sociable et préfère la solitude à la compagnie d'autres humains. Son meilleur ami est son ordinateur. Car oui, quand elle travaille dessus, elle contrôle tout. A vrai dire, elle se définit souvent comme une "handicapée sociale".
Talia, c'est aussi une jeune femme blessée qui a dû grandir trop vite. Elle ne s'est jamais sentie à sa place dans ses familles d'accueil, et elle s'est toujours barricadée. Comme aucune de ses familles provisoires ne se connectait réellement avec elle, elle s'est construit une véritable armure sociale. Elle ne s'attache à personne, et fait en sorte de saboter toute histoire ou amitié naissante. Toute personne se rapprochant trop d'elle doit s'éloigner au plus vite.
Mais Talia est également très créative. Elle joue du violon, elle a un talent indéniable pour le design, elle a énormément de goût pour l'art et elle prend des cours de peinture. Mais elle utilise également sa créativité dans d'autres domaines : pour le codage, elle aime innover. Elle pourrait passer des heures sur une seule ligne de code pour le rendre parfait, innovant. Et il faut également avouer que sa créativité n'est pas toujours là pour le bien : il lui est déjà arriver de copier la signature d'un autre hacker pour qu'il se fasse prendre à sa place en cas de problème.
Malgré tout cela, elle a une conception assez forte de ce qui est bien ou mal ; sa conscience le lui rappelle souvent. Elle est consciente des erreurs qu'elle a faites et du mal qu'elle a pu faire, et s'est jurée de ne plus jamais retomber là-dedans.
Vous l'aurez compris, Talia est une personne à part, qui a souffert, et qui cache actuellement sa souffrance sous une armure. Peut-être que si elle apprenait à aimer, elle serait différente, mais il faudrait pour cela qu'elle se sente digne d'être aimée... Et qu'elle cesse de masquer son armure sous un élitisme dissimulateur.
Histoire :
Il était une fois... Non, mon histoire ne peut commencer ainsi ; cela supposerait une fin par "Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants". Difficile d'avoir beaucoup d'enfants lorsqu'on est une éternelle célibataire... Parce que c'est ce que je suis. L'amour, ce n'est pas pour moi ; les hommes bien sont tous soit déjà pris, soit homo. Et puis sérieusement, qui pourrait me convenir ? Je suis bien trop complexe, trop endommagée pour être heureuse, alors quelle importance ?
Je m'appelle Talia. Mon véritable nom de famille, je ne le connais pas... Tout comme mon véritable prénom, d'ailleurs... si toute fois j'en ai eu un. Je suppose que je suis née à Brisbane car c'est là-bas que j'ai été déposée devant les portes de l'hôpital. Mes parents n'ont même pas pris la peine de veiller à ce que je sois prise en charge ou de vérifier que j'allais bien. Non, ils m'ont juste déposée devant les portes, à même le sol, en plein mois de septembre. Niveau responsabilité, ils pourront repasser...
Comme ils ne savaient rien sur moi, ils m'ont donné pour date de naissance le 6 août 1992, car compte-tenu de mon poids et de ma taille, c'est la date qu'ils ont estimée à l'hôpital. C'était le 9 septembre 1992. C'est la directrice de l'hôpital qui m'a donné mon nom. Talia, comme le prénom de sa mère. Alice, comme son propre prénom. Beaugox, comme son nom de famille. Les formalités pour que je devienne sa fille ont été rapides. Il s'avère que d'après les rapports (que j'ai hacké, histoire de savoir d'où je venais tout de même), j'étais heureuse lorsque j'étais avec cette dame. Et il a fallu que je porte une nouvelle fois la poisse. Trois années plus tard, elle mourrait d'un cancer des poumons. Je me suis retrouvée une nouvelle fois à l'orphelinat.
Toujours d'après les rapports, ils ont tenté de me placer dans plusieurs familles à Brisbane. Sans succès. La mort d'Alice m'avait rendue inconsolable, et les familles désemparées me ramenaient à l'orphelinat quelques semaines après m'avoir accueillie. La plus tenace avait tenu 4 mois.
J'ai alors été transférée à Sidney, où j'ai passé un moment dans l'orphelinat. 2 ans pour être exacte. La tentative dans la famille suivante a commencé le 27 avril 1998. J'avais compris la leçon : ne pas pleurer, ne pas faire d'histoires, ne pas attirer l'attention. Je passais davantage de temps dans ma chambre qu'avec les membres de la famille, et je prenais garde à ne jamais m'attacher. C'était ma règle. J'ai tenu un an et demi. Depuis lors, ça a été ma moyenne. Parfois je restais un an, parfois deux.
Jusqu'à ce que j'arrive chez la famille Duchamps, le 14 mars 2005. Il s'agissait d'une famille d'expatriés français. Le père, Antoine, travaillait comme développeur de jeux vidéos, et la mère, Perrine, était journaliste dans un magasine dédié à l'art. Bien que j'avais choisis de ne pas m'attacher, ils ont été ce qui se rapprochait le plus de parents pour moi, et j'ai fini par m'attacher. Perrine m'a appris à jouer du violon. Antoine m'a rapidement acheté un ordinateur et m'a appris la programmation. J'aurais pu être heureuse avec eux... s'il n'y avait pas eu Romain, leur fils, âgé de deux ans de plus que moi. Il mettait un point d'honneur à me rappeler que je n'étais pas la fille de ses parents, que je n'étais là que pour un moment, que je devais lui obéir sinon il ferait en sorte que ses parents me renvoient. Bien entendu, il a attendu que j'apprécie suffisamment ma vie pour commencer ses menaces. Ca a commencé par son entrée lorsque j'étais sous la douche. Quelques semaines plus tard, il s'est douché avec moi. Encore quelques semaines plus tard, il a commencé à me toucher de manière déplacée. Je vous laisse deviner la suite.
Même si mes "parents" voyaient que j'étais malheureuse, et qu'ils essayaient que j'aille mieux, je ne pouvais rien leur dire. Ils m'ont envoyé chez un psychologue, mais je suis restée de marbre. Alors j'ai fait semblant d'être plus joyeuse, devant eux. Mais je pleurais encore le soir... quand "il" ne s'introduisait pas dans ma chambre.
Finalement, dès que j'eus 18 ans, je partis avec mon ordinateur, laissant simplement une lettre à mes parents, dans laquelle je leur expliquai tout. Je trouvai refuge à Adélaïde, où je m'installai dans un café pour mon premier hacking "à conséquence", et je récoltai suffisamment pour un mois de loyer dans un appartement minable, et une inscription à l'université en informatique. Par la suite, je continuai le hacking, de sorte à ne vivre qu'un seul mois dans cet appartement minable, et à la suite de cela, je trouvai un nouvel appartement, en colocation cette fois, avec d'autres personnes aussi geek que moi. Ils étaient tous étudiants en informatique, et on passa deux ans à développer une application qui eut un certain succès... De quoi mener une vie estudiantine normale jusqu'à l'obtention du diplôme. Bon d'accord, je continuais, de temps en temps, le hacking pour "le piment".
Et un jour, j'avais utilisé le code d'un de mes colocataires pour une opération. C'est alors que la police est arrivée et a embarqué mon ami. Comme il était aussi féru de piratage, il était coupable. Mais lorsque j'entendis le nom de la firme, je compris que c'était moi. Et je trouvai l'idée excellente pour ne pas me faire prendre... Mais rapidement, ma conscience se chargea de ma rappeler à l'ordre. Inconsciemment, je cherchais à me punir pour ce que j'avais fait. Je finis par comprendre ce qu'il se passait (merci à la lecture de nombreux livres sur le self-sabotage) et jurai de ne plus jamais toucher au dark web. Depuis, j'utilise simplement un navigateur sans traçabilité, mais je n'ai plus détourné un seul centime.
Après l'obtention de mon diplôme, j'ai été engagée dans une boite de création d'applications. Je me suis directement lancée corps et âme dans le travail que j'en oubliai le hacking.
J'ai été mutée à Brisbane début du mois d'octobre. J'ai vécu un moment dans un hôtel aux frais de la boite, en attendant que je me trouve un chez moi et c'est sur le nouveau quartier de Willow Lane que mon choix s'est porté suite à une annonce pour une recherche de colocataire.
Infos en plus :
Je souhaite des colocataires : Oui
Je souhaite être pris en charge à mon arrivée dans le quartier : Avec plaisir !
Code pour le bottin : - Code:
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CANDICE ACCOLA <span class="pris">▬</span> Talia A. Beaugox