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 Colin Turner ϟ Sometimes quiet is violent

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Colin Turner ϟ Sometimes quiet is violent
Mar 10 Jan - 5:00 - #


Colin Turner


Je suis un : [X] personnage inventé  [ ] scénario



Toi derrière l'écran


Ton pseudo/prénom : Pookie / Adam
Ton âge : 20 ans
Comment t'es arrivé là ? Proposition sur PRD
Que penses-tu du forum ? Très charmant, et dans ce bon vieux style libre qui me manquait pas mal  ooh
Présence : Quelques fois semaine, parfois moins ... Le plus possible quoi xD
Un truc à dire ? Bah je suis gentil comme tout et j'ai bien hâte de me lancer en RP sur votre joli forum  nini


Informations :


Nom de famille : Turner - Prénom(s) : Colin - Lieu de naissance : Vancouver, Canada - Nationalité : Australienne - Date de naissance : 18 janvier - Âge : 24 ans - Orientation sexuelle : Bah il est carrément aux hommes, très aux hommes (mais il se lie plus facilement d'amitié avec les femmes, sans la gêne de l'attraction)  - Statut civil : Éternel célibataire - Métier : Travaille chez Starbucks depuis 3 ans - Groupe : Blueberries - Date d'arrivée dans le quartier : Juin 2016

Avatar utilisé : Le very talented Tyler Joseph, thank you very much

Caractère/Physique :


Colin est un ptit gars des plus adorables. Oui, ptit gars. C'est pas qu'il n'est pas grand, son mètre soixante-dix-huit est tout à fait raisonnable. Il est cependant fait petit, sans musculature bien imposante, et ses traits font plutôt jeunes, de quoi lui donner cet air enfantin qui lui mérite l'appellation de ptit gars. Il est généralement d'humeur contente, souriant face à la vie et énergique au quotidien. Cela n'a cependant pas toujours été le cas, notamment car il doit composer avec le fait de vivre avec un TDAH depuis sa plus tendre enfance, sans mentionner l'anxiété qui y est associée. Il a toujours eu du mal à s'affirmer et à avoir confiance en lui, encore aujourd'hui étant quelqu'un qui se fait plutôt discret sur soi-même dans la crainte d'être rabaissé ou perçu négativement. Il est très créatif, autant en musique sur le piano ou le ukulele, qu'en confection de boissons chez Starbucks, dans un habile mélange de sirops et de saveurs. Il chante aussi particulièrement bien, mais ne le fait jamais en public, beaucoup trop intimidé et convaincu qu'il sonne comme une vieille porte grinçante. Bien qu'il n'ait pas eu une enfance facile, il entrevoit la vie positivement et cherche toujours à en tirer le meilleur possible, sans se laisser complètement abattre par ses difficultés.

Il perçoit les gens comme des couleurs ou des odeurs, selon le vibe qu’il reçoit d’eux, selon l’humeur et le moment. Ce phénomène le suit depuis toujours et les médecins ont tenté de l’expliquer par une forme de synesthésie. Il fait aussi l’association couleur-musique, ainsi il décrit parfois des airs comme étant d’une riche couleur ambrée, et personne ne cherche à comprendre plus car, meh, artists, am I right. Il est d'avis que cela rend la vie plus belle, enrichie l'expérience sensorielle de la plus agréable des façons, et il embrasse avec joie les associations étranges de son cerveau. Dieu l'a fait ainsi, et tout le monde est beau à sa façon, voilà.

On peut facilement imaginer qu'il bouge tout le temps, partout, qu'il s'agite quand il chante, quand il joue de la musique, quand il travaille. Il chantonne, il siffle, il remue les orteils. On pourrait croire que toute son énergie pourrait être réinvestie dans un sport ou une activité physique quelconque, mais il n'aime pas ça; pourtant il est excellent au basketball, mais ces talents ne servent qu'à atteindre les poubelles de loin avec ses déchets, et pas grand chose de plus.
Il est sous médication, ce qui aide quelque peu, mais le filtre entre sa tête et sa bouche n'est pas toujours en place, ce qui peut mener à des situations cocasses. Il est de même très impulsif. Très conscient et soucieux de l'image qu'il projette, souvent cela le met ensuite mal à l'aise, le gêne, et c'est d'autant plus adorable.

Il est particulièrement sensible aux textures de la nourriture, et ne se gêne pas pour faire des caprices. Il boudera s'il le faut, se fâchera pour un rien, si c'est le moindrement gluant, c'est NON. D'ailleurs, il se plaint souvent d'avoir des faims monstres, mais a clairement un appétit d'oiseau, rassasié après très peu de bouchées. En présence de personnes desquelles il est proche, il risque d'avoir les mêmes réactions que précédemment si on le force à continuer; face à des inconnus, il fera l'effort, quitte à se rendre malade, tout pour ne pas être jugé.

Il n'est pas du genre à avouer facilement ses erreurs, se renfrogne plutôt à chaque fois ou tente de faire comme si rien était et comme si l'erreur en question était tout à fait prévue. Pas facile d'avoir ce genre d'attitude, quand on a un si piètre sens de l'orientation qui nous pousse à nous perdre presque sur notre propre rue ...

Somme toute, Colin, c'est une bonne personne, avec ses qualités et ses défauts, ses excentricités et ses bizarreries, son côté attachant et son grand coeur. Une bonne personne sur laquelle la vie s'est acharnée. Somme toute, c'est un petit survivant à sa façon, et maintenant, plutôt que de survivre, il s'efforce de vivre.

Histoire :


AVANT DE VOUS LANCER, JE METS UN PETIT TRIGGER WARNING. DES FOIS QUE ÇA CHOQUE UN PEU. J'MEXCUSE. JE SAVAIS PAS SI J'AVAIS LE DROIT. C'EST PAS TROP HARD, PAR CONTRE. UN PETIT PARAGRAPHE EST PLUS LOURD, MAIS SINON ÇA VA. JE CROIS. PARDON.


I feel for you but when did you believe you were alone
La neige crisse sous ses pas. Traverse le trou dans la mince semelle de ses baskets. Fond entre ses orteils. Un chien jappe au loin. La lumière passe du vert au rouge. Crissements de pneus. Le froid s’installe au pied. Quelqu’un rit. Bousculades. Plus de rires. Sa chaussette est humide. Il déteste les chaussettes humides. La lumière passe du rouge au vert. Crissement de pneus. Le chien qui jappe, un peu plus fort. Plus de neige dans ses baskets.

Sa tête se redresse brutalement au coup de klaxon. Extirpé de ses pensées, son corps agité du sursaut qui le force à s’écarter de quelques pas rapides vers l’arrière. L’intersection. La lumière du rouge au vert. Crissement de pneus. Il faut attendre sur le trottoir. Le tour des voitures. Pas encore son tour. Son pied tape dans la neige. Chaussette déjà mouillée. Clignotement de la lumière pour piétons. Son tour. Pas celui des voitures.

Sa nouvelle école est immense. Toujours l’impression d’être submergé. Oppressé par l’effet de grandeur. La porte est lourde. Il fait chaud à l’intérieur. C’est le calme. Il est en retard. Son cœur bat plus vite. Anxiété. Il mord nerveusement son pouce. Le froid enserre ses orteils dans des étaux. Ses baskets humides couinent sur le plancher. Quelle est sa classe ? Où a-t-il pu mettre son horaire? Sur la table de chevet. Ou sur son lit. Peut-être sur le bureau. Pas dans son sac, certainement pas dans son sac. Oubliée, misérablement. Oubliée, comme le numéro de sa classe. Panique. « Tu n’es qu’un bon à rien. Même pas foutu de trouver ta classe »  Tais-toi. Tais-toi. Panique. Inspire. Expire. Mord le pouce. Couinement des baskets.

Il trouve. Il expire. Soulagement. Son poing contre le cadre de porte. Interruption de l’enseignante. Le sourire qu’elle lui décoche, radieux. Il a envie de pleurer. « Tu dois être Colin » Il n’a plus ses mots. Il hoche la tête et entre, timide. Tous les regards sont sur lui. Sur sa tuque rouge, abaissée au-dessus de ses yeux. Sur ses mains barbouillées de feutre noir. « Tu veux te présenter ? » Il secoue négativement la tête. L’enseignante rit. Il a envie de sourire. « Ne dit rien. Ils te prendront pour un débile » TAIS-TOI. Le sourire à ses lèvres s’affaisse. « Colin ? Peut-être peux-tu nous parler de tes amis ? » Ses amis. Sa gorge se serre, ses yeux sondent la classe, scrutent les visages. Il veut disparaître sous son bonnet, laisser le plancher l’avaler. Il ouvre la bouche, la referme. Un ricanement. « PARLE. PARLE, MAINTENANT » Tais-toi ….

« I-Il s’appelle Blurryface. On est très différents et pas d’accord sur beaucoup de choses, mais il est toujours là pour moi. »

Nouveaux rires. On ne le croit pas. On se moque de lui. C’est pas un vrai nom. Il existe pas pour vrai. Il est surement imaginaire. Ses dents se serrent. Il ne dit rien. L’enseignante lui indique maladroitement une place à l’avant, il secoue la tête et se traîne les pieds jusqu’au fond, dernier bureau dans le coin droit. Isolé. Le coin punition. C’est sa place maintenant.

Plus un mot. Couinement des baskets. La chaise racle le sol, il y prend place. Tic tac de l’horloge. Le froid entre ses orteils. Sa jambe bouge sous le bureau. Ses doigts jouent avec son crayon. L’enfant devant lui respire fort. Addition, soustraction, flocons de neige par la fenêtre. Sa tête est un casse-tête et la moitié des pièces sont égarées. Et toujours la petite voix dans sa tête, qui murmure son nom, en rythme avec les battements de son cœur.



Petrified of who you are and who you have become
Le temps apaise les choses. Pas dans son cas. La médication, si. Sa tête est un casse-tête, mais tous les morceaux y sont. Il arrive à en placer quelques-uns. Moins de couinements. Moins de lumières. Pas plus d’amis.

Ses mains tremblent. Sa tête hurle. Tais-toi. Tais-toi, je te dis. Le tranché est vif et net. La lame de rasoir lui échappe. S’écrase lamentablement dans le fond du bain. La douleur pulse dans sa cuisse. Le silence se fait dans sa tête. Son cœur s’apaise. Un sourire étire vaguement ses lèvres, grimacé entre contentement et douleur. Son âme sait que c’est mal. Son corps s’en fiche. Ses doigts longent la nouvelle coupure qui en rajoute au quadrillé de ses cuisses. Toujours vers l’intérieur, là où la peau est sensible. Des marques plus fraîches, beaucoup de plus vieilles. Blanches, rosées, fines, certaines à peine perceptibles, d’autres légèrement rugueuses au toucher. Une nouvelle trace sanguinolente. Blurryface se tait.

Somme toute, les choses vont mieux. Mieux, mais à quel prix. Surexcité, impulsif, tant de choses à raconter. Contraint de se taire, par toute la force de sa volonté. Son contrôle s’amenuise. Il laisse les copains tranquilles. Il se contient à l’école. Il laisse tout aller à la maison. Contre lui-même. Un mal pour un bien. Un cri pour le silence.

Il a toujours du mal à l’école. Il déteste ça. Il veut faire de la musique, mais a plus que tout peur de l’afficher. Il joue pour lui-même. Du piano, du ukulele. Il n’y a pas grand-chose qu’il ne sache pas jouer. C’est une passion, un moyen comme un autre de se défouler, de s’échapper. Mais la musique demande un public pour percer. Jamais il n’oserait s’exposer.



Tie a noose around your mind, tell it « You belong to me and I have news for you, you must obey ME »
Il se tient debout devant le miroir de la salle de bain de sa maison, nu, les cuisses couvertes de faintes lignes blanchâtres. Ses doigts les frôlent et un sourire se trace un chemin jusqu’à ses lèvres à l’idée que plus jamais, une nouvelle ne viendra les décorer. Il enfile ses vêtements en osant siffloter, glisse deux tranches dans le grille-pain et prend le temps de savourer son jus d’orange. Ce matin annonce une belle journée.

La médication est prise par habitude, rien qui ne puisse le perturber désormais. L’habitude s’est installée, non plus vue comme une menace mais comme une solution. Comme la musique l’est devenue. Il chausse ses vieux baskets et sort, pas de neige qui s’infiltre par le trou, toujours un trou, sous sa semelle. Il enfonce un peu plus son bonnet sur sa tête, malgré qu'ici il ne fasse plus froid, sourit pour lui-même dans la douce chaleur australienne et, les mains dans les poches, prend la direction du Starbucks. La lumière passe du rouge au vert, les pneus crissent sur l'asphalte et un chien jappe au loin. Il glisse ses doigts dans ses poches et sifflote, insouciant. Sa chaussette n'est plus souvent humide. Il déteste toujours autant les chaussettes humides. Mais maintenant, l'hiver est doux pour ses orteils.

Starbucks. Emploi machinal, boissons chaudes et ambiance chaleureuse, tout pour lui plaire sans exiger de lui qu’il reste assit des heures immobiles sur une chaise et réussisse ses mathématiques. Il peut danser derrière son comptoir s’il le désire, inventer des petits surnoms à écrire sur les gobelets de ses clients. Il met de la vie dans la journée trop monotone de nombreux individus qui entrent, qui sortent, réguliers ou nouveaux, pour un café ou quelque chose de plus raffiné. Blurryface est silencieux. Mort, peut-être, il ne saurait dire.

Ses baskets couinent sur le plancher alors qu’il entre. Le bruit n’est qu’un parmi tant d’autres, son cerveau tenté de lui accorder plus d’attention que nécessaire, mais il mord plutôt sa lèvre inférieure et se répète mentalement la tâche à accomplir. Enlève le bonnet, met le tablier, affiche un sourire et au boulot. Les gestes sont machinaux, il connait son travail. Une nouvelle commande particulière fait sauter des battements à son cœur, la liste d’ingrédients complexe et ses yeux s’écarquillent, l’intensité monte. Ses doigts trouvent les lignes tatouées à son bras, à son poignet, et les frottent en réflexe, sa respiration se régulant par le geste réconfortant. Sortant un calepin de sa poche arrière, il affiche son plus beau sourire et demande à ce que la commande soit répétée. Toujours une solution. Composer avec le quotidien. Blurryface reste silencieux.

L'Australie est devenu un échappatoire. Un déménagement en coup de tête, une envie de changer d'air, de reprendre sa vie en main, de repartir à zéro. Un doigt posé sur le globe terrestre qui tourne, une destination au hasard, un quartier choisit tout aussi peu soucieusement. Ce n'est pas l'argent qui manque, dieu merci les parents fortunés. Maman transfère des fonds, papa en a légué à son décès, franchement l'endroit importait peu, tant que c'était ailleurs. Il affronte la chaleur plutôt que le froid, s'ennuie un peu de la neige, mais son coeur est léger et sa tête un peu plus claire.

Il est seul. Mais seul de la meilleure des façons. Seul dans sa tête, dans son esprit, seul maître de sa vie. Pas le TDAH. Pas l’anxiété. Peut-être qu’il ne deviendra pas médecin. Peut-être bien qu’il est étrange, excessif et terminera ses jours au Starbucks, tête blanche et mains tremblantes. Mais il s’est retrouvé, quelque part en chemin, et s’est promis de ne plus jamais s’égarer.

[NOTE: Je vous vois venir avec vos craintes, mais n'en ayez aucune, ce ne sera pas le genre de personnage dépressif à toujours resasser son lourd passé, il aime la vie mon ptit gars, okay ? Il sera pas chiant, vous en faites pas  red ]

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Re: Colin Turner ϟ Sometimes quiet is violent
Mar 10 Jan - 6:32 - #

Bienvenue :D
Ahah j'en doute pas qu'il ne sera pas chiant. Mais s'il a envie de râler et d'insulter tout le monde, Aiden se fera une joie d'avoir un copain xD
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Re: Colin Turner ϟ Sometimes quiet is violent
Mar 10 Jan - 7:55 - #

Bienvenuuuuue chez toi !!! Yeah J'espère que tu te plairas sur W-L. ooh coeur 2
J'aime beaucoup ton histoire. youpi Il a l'air génial ce perso !
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Re: Colin Turner ϟ Sometimes quiet is violent
Mar 10 Jan - 10:30 - #

EPOUSE-MOI !!  weee copain calin
sinon, on peut commencer par un "bienvenue mec" ! Caché
surprise:
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Re: Colin Turner ϟ Sometimes quiet is violent
Mar 10 Jan - 11:05 - #

Ah je me disais y aurait quand même pas Josh sans Tyler XD
Vous gérez et vos perso sont cool
bienvenue !
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Re: Colin Turner ϟ Sometimes quiet is violent
Mar 10 Jan - 15:55 - #

Merci beaucoup à vous tous les keupains ooh
Aiden, ce sera avec plaisir! On peut bien être gentil et aimer râler à ses heures, ça ferait du bien à Colin Haha
Et Paul, ah non faut me courtiser d'abord quand même, pas si facile Siffle red et sinon, merci Coeur

Bref' merci encore Coucou
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Kendall Monroe
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Kendall Monroe
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Re: Colin Turner ϟ Sometimes quiet is violent
Mar 10 Jan - 20:46 - #

Bienvenue parmi nous Coeur

Il a du bol Colin, ici y'a pas de neige qui mouille les chaussettes 02. En tout cas, il a l'air bien intéressant ce petit personnage ♥️. Je te valide donc, tout est bon, et je te rajoute ta couleur bleue ! Tu seras dans la maison située au n°4, Blueberry Lane ! (si tu veux avoir des colocataires, n'hésites pas à me le dire pour que je le rajoute à la liste ^^)

Amuse-toi bien parmi nous et surtout n'hésite pas à contacter le staff si jamais tu as un soucis ou une question Coeur.

Bon jeu Yeah


Félicitations !


Maintenant que ta fiche a été validée, tu vas pouvoir te lancer dans le jeu avec ton beau personnage Coeur. N'oublie pas de remplir ton profil afin qu'on ait toutes tes infos en un coup d'oeil ! Voici aussi quelques petites choses qui pourront t'aider un peu :

♦️ Tu trouveras la liste des logements par ici, pour voir qui sont tes voisins proches et moins proches. Et si tu as un métier, il t'est demandé d'aller le recenser dans ce sujet =].

♦️ Grâce à la zone "recherche de rp" tu pourras très vite te trouver des camarades pour jouer ! Ou sinon, tu peux aussi ouvrir un rp libre et venir donner le lien par là. Ou répondre à un rp qui attend une réponse aussi, c'est comme tu veux ! Et si jamais tu veux un lien avec l'un de tes voisins, il y a toujours le sujet "demande de lien" =)

♦️ Si tu souhaites poster une fiche de suivi/liens pour ton personnage, c'est dans cette zone que ça se passe ! Il y a un code en libre-service mais tu n'es pas obligé de l'utiliser !

♦️ La section "flood & jeux" et la chatbox t'attendent si jamais tu veux discuter avec d'autres membres. Surtout n'hésite pas à lancer des conversations et des jeux par toi-même ♥️.

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Re: Colin Turner ϟ Sometimes quiet is violent
Mar 10 Jan - 23:06 - #

Hahah ouais il est bien tombé Cool Merci beaucoup :3
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Lauren Evans
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Lauren Evans
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Re: Colin Turner ϟ Sometimes quiet is violent
Mer 11 Jan - 17:29 - #

Bienvenuuue ! hello Coeur
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Re: Colin Turner ϟ Sometimes quiet is violent
Mer 11 Jan - 22:22 - #

Starbuuuuuuuuuuuuucks (lemoncake en abondance, obligéééé)
Voisiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin pas loin :s
Momooooooooooooooooooooseksssssssssuwel coupaiiiiiiiiiiiiiiiin

Bref, bienvenue. Faudrait que je me pose pour lire ta bio cookie
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Re: Colin Turner ϟ Sometimes quiet is violent
Jeu 12 Jan - 2:32 - #

WUAAAIS lemoncake WUAAAIS KEUPAAAIN kya

Merci à vous deux hello
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Re: Colin Turner ϟ Sometimes quiet is violent
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