Eileen Barclay
Je suis un : [X] personnage inventé [ ] scénario
Toi derrière l'écran
Ton pseudo/prénom : Poloch'/Gat', voilà voilà
Ton âge : Le double de mon âge, curieux
Comment t'es arrivé là ? On cherchait un nouveau forum stable (donc dans le long terme..) pour déménager notre p'tit duo
Que penses-tu du forum ? J'aime beaucoup les couleurs
Et surtout, que ce soit libre, c'est ... Un grand bol d'air dont j'ai besoin en ce moment
Présence : Presque tous les jours, au moins un passage. Par contre pour les RP.. Vu que j'ai tendance à faire des pavés (et comme j'ai pleins de bouilles à d'autres endroits), faut pas s'attendre à des réponses le jour même
Un truc à dire ? Y'a des fans de licornes par ici ?
Informations :
Nom de famille : Sans avoir réellement le choix, je traîne ce
Barclay que j'exècre plus que tout depuis quelques années maintenant. C'est le nom de mon père. Enfin, de mon géniteur. Ce terme est nettement plus représentatif de l'ordure qu'il est. Heureusement pour moi, je n'ai plus le moindre contact avec lui. Manque de chance, par contre, c'est que je ne peux pas me défaire de son souvenir. Ce nom de famille me rappelant sans cesse d'où je viens. La joie. -
Prénom(s) : Mes parents ont décidé de m'appeler
Eileen. Un prénom assez rare, pas aussi répandu que Mary, très clairement. Je ne vais pas vous recopier ce qu'on trouve sur Internet à son sujet, d'un point de vue étymologique. Vous avez très certainement d'autres choses à faire. Mais, ce qui peut être sympa à savoir, c'est que mon doux prénom vient d'un mot grec et qui signifie, très clairement "
éclat du Soleil". C'est mignon, non ? -
Lieu de naissance : Je suis née à
Celbridge, en Irlande. -
Nationalité : Je suis donc
Irlandaise. -
Date de naissance : Mon anniversaire est le
22/07/1994. -
Âge : J'ai donc
22 ans. -
Orientation sexuelle : Je n'ai réellement connu qu'un homme de toute ma vie. Même si je respecte toutes orientations, je ne suis, moi, pas intéressée et attirée par les demoiselles. -
Statut civil : C'est très compliqué. Malgré les années qui passent, j'ai toujours derrière moi le fantôme d'un homme. Mais, je suis surtout une
mère célibataire. -
Métier : Actuellement, je travaille chez moi, en tant que
graphiste. Un métier plutôt sympa qui, pourtant, n'aurait pas dû être ma première vocation. Mais, quand on n'a pas vraiment le choix, il faut faire au mieux. Et au moins, comme ça, je peux garder mon fils sans devoir engager qui que ce soit, évitant ainsi des dépenses que je ne peux pas m'autoriser. -
Groupe : APPLES -
Date d'arrivée dans le quartier : Depuis
décembre 2015.
Avatar utilisé : Katherine McNamara
Caractère/Physique :
En quelques mots, pour me décrire, on peut dire que je suis une personne assez rêveuse, maladroite du coup aussi, qui sait ce qu'elle veut -et ne veut pas-. Je suis attentionnée, parfois capricieuse, créative. J'adore l'art. Mais, je suis aussi très perdue.. Délicate et douce, je n'en suis pas pour autant d'une fragilité déconcertante. Si on me cherche, on me trouve. Pas besoin de faire deux mètres de haut pour calmer un gars qui s'excite d'un rien. Feignante, les grasses mat' sont mon dada. Jalouse et possessive, ça craint un peu lorsqu'on empiète sur ce qui est à moi.
Sinon, plus généralement .. J'adore les animaux. D'ailleurs, j'ai la chance d'avoir quelques boules de poils chez moi.
Buzz est mon fidèle ami à quatre pattes. Un petit chien, croisé, que j'ai recueilli dans un refuge. Il fait mon bonheur autant que celui de Néo. Et puis, il y a
Polochon. Mon petit hamster à la robe d'or qui arrache un rire des plus amusés au p'tit dès qu'il bouge dans son énorme cage -oui, il a un énorme palace pour lui tout seul et pas ces maudites cages toutes petites-. Si je m'écoutais, mon p'tit appartement serait transformé en refuge pour toutes sortes d'animaux. Après, je suis fascinée par le monde marin tout comme par l'infiniment grand. Vous l'aurez compris, mais j'aime
mon fils, bien entendu. C'est la première chose qui me vient en tête. Quel bonheur, pourtant si simple, que de s'allonger dans l'herbe une fois la nuit si noire pour pouvoir admirer un
ciel étoilé. Avant que Néo n'entre dans ma vie, j'adorais bouger. Il fallait que je sorte, que je me promène de longues heures en
pleine nature. J'aime ce contact. Sans doute la chose qui me manque le plus en habitant dans le centre-ville. Heureusement, Buzz et Néo me forcent à sortir de chez moi pour quelques bols d'air frais bien mérité. On se promène très souvent, tous les trois. Même s'il manque une quatrième présence pour que ce tableau soit aussi parfait que celui que j'imaginais. Mais, ce n'est pas possible. J'apprécie aussi les rares écarts que je m'autorise, en laissant mon fils à mon adorable vieille voisine, pour aller
courir de bon matin ou simplement pour aller boire un verre occasionnellement en soirée. J'ai de la chance de pouvoir compter sur elle pour garder le p'tit si besoin. Surtout qu'ils s'entendent très bien ensemble. Même si je ne sors pas autant qu'avant, j'ai besoin de
prendre du temps pour moi. Non pas pour plaire aux autres. Leurs regards, je m'en fous royalement. Mais, j'ai toujours été branchée pour ces petites choses de fille, bien que ce ne soit jamais à outrance tant dans mes vêtements que dans ma façon de me maquiller. J'adore
la pluie. Je pourrais passer des heures entières à l'entendre, même si je ne suis pas abritée. Après tout, je ne suis pas en sucre, des cheveux : ça se sèche et un maquillage coulant : ça se rattrape. J'aime aussi
m'affaler dans mon canapé, sous une couverture de préférence et un bon
thé -les habitudes se prennent vite !- aux épices entre les mains. Et s'il est accompagné d'un petit gâteau et d'un
livre, c'est le bonheur le plus parfait. Lorsque je sais que personne ne va venir me rendre visite ou que je ne dois pas partir de chez moi, j'adore mettre des pulls ou des gilets qui me sont dix fois trop grands. Surtout un sweat, d'ailleurs. Oui, un de ces d'Archie qui est toujours avec moi. Généreuse, j'aime
faire plaisir aux autres, m'oubliant les trois quarts du temps au passage. C'est comme ça, on ne se refait pas. Et les
bougies. J'adore ça, surtout les parfumées ! Et bien entendu, j'aime tellement
dessiner .. Depuis que je suis toute petite d'ailleurs ! J'avais de la chance d'être une très bonne élève sans avoir à faire d'efforts surhumains. Cela me laissait l'occasion de griffonner quelques esquisses sur mes cours. En tout cas, j'ai horreur de cette vie que je mène. Elle n'est pas celle dont j'ai rêvé. Malheureusement, on ne peut pas la changer. Tout comme je déteste
mon père. Il est bien LA personne dans ce vaste monde que je hais de la sorte. La
cannelle. Non, vraiment. C'est un goût que je ne supporte pas tout comme son odeur. Sans doute l'une des seules épices que je ne supporte pas. L'odeur de la
cigarette et du
tabac froid que je trouve insupportable si trop forte et imprégnée dans les vêtements. J'ai horreur des
agendas électroniques. Moi qui aime écrire, c'est un vrai supplice de ne pas avoir un bloc note ainsi que mon p'tit agenda dans le sac. J'ai horreur des personnes
trop tactiles. Surtout depuis qu'Archie n'est plus avec moi. Non, vraiment. Les câlins et autre du genre, ce n'est vraiment plus mon délire. Sauf avec Néo, bien entendu. Assez timide et réservée face à des personnes qui me sont inconnues, j'ai du mal à
prendre la parole. Même au téléphone. Si je peux éviter et me cacher derrière un message écrit, je préfère. C'est pour cela aussi que j'ai du mal à ouvrir un cadeau face à des personnes. J'ai horreur des gens qui
gaspillent. C'est un comportement qui m'insupporte au plus haut point, surtout lorsqu'on voit tous ces enfants qui meurent de famine ou autre. Non, vraiment : ça me brise le coeur. Assez désordonnée et loin d'être une fée du logis, je déteste
faire le ménage. Ca me gave dès que j'ai un balai en main. Je n'aime pas non plus être l'objet d'une attention trop forte ou qu'on s'inquiète pour moi. J'ai aussi la phobie de sonner à la caisse ou dans un magasin. Promis, je ne suis pas une voleuse ! Sinon, je n'ai pas vraiment peur de quelque chose. Disons que je suis déjà dans un
cauchemar au quotidien, alors bon. Sinon, j'ai la phobie des
serpents et des
araignées.
Niveau physique, je suis petite. Et oui. Je le reconnais. En plus de ma petite taille, la première chose qui vient en me voyant, ce sont mes cheveux. Et oui, on ne trahie pas ses origines si facilement. Mais qu'importe. J'aime ma crinière de feu.. Et sinon, j'ai un petit tatouage dans le bas du dos. Forcément, les personnes au courant sont très rares.
Histoire :
Qu'est-ce que peut donc bien donner un Australien parti vivre sa vie en Irlande ? Une histoire en apparence idyllique, mais qui va se transformer en un bien sombre cauchemar, bien évidemment. Voilà en quelques lignes comment j'arrive à débuter le récit de mon histoire. Je suis donc née à Celbridge, y restant d'ailleurs pour vivre une enfance toute aussi parfaite qu'était le couple formé par mes parents. De très jeunes années plutôt agréables, dans une famille soudée. Un schéma banal pour une destinée qui l'est nettement moins par contre. Je pense que cette bombe à retardement qui planait au-dessus de notre famille s'est posée sur nos têtes vers mes six ans. Ma mère attendait un autre enfant, qui est malheureusement mort né. Forcément, c'est un événement tragique pour des parents, aussi bien pour la grande sœur qui a attendu pendant de si longs mois cette compagnie pour ne pas se sentir aussi seule et isolée. Quelque chose entre mes parents s'est détruit au même moment. Même s'ils laissaient cette apparence d'être aussi fusionnels qu'ils l'avaient été jusqu'alors, le deuil de cette vie pourtant tant attendue n'a jamais été réellement fait. Très vite, j'ai laissé cette tristesse s'exprimée à travers de nombreux dessins. Bien entendu, je restais leur fille adorée et face à moi, ils s'efforçaient de ne rien laisser passer. A cet âge, on ne comprend pas forcément tout, mais on est loin d'être idiot. C'était même pour lire la fierté dans leurs yeux que je me suis lancée dans cette quête de l'élève modèle qui ne cesse de rapporter d'excellentes notes à la maison. Une chose qui n'était pas si compliquée pour moi, heureusement.
Ce qui est difficile lorsqu'il est question de déménagement, c'est de voir toute sa vie se retrouver bouleversée. Perdre ses repères, ses amis. Surtout en quittant son propre pays pour aller à des milliers de kilomètres de là. Je n'ai pas échappé à cela. A mes 13 ans, en pleine année scolaire, on a appris que mon père était muté en Australie. Un retour au pays, pour lui et une grande nouveauté pour moi. Mes amies de l'école étaient nettement plus emballées par l'idée que je ne l'étais. Il faut dire que je ne suis pas une personne qui aime improviser et sortir de ses petites habitudes une fois qu'elles ont été bien ancrées. Mais, je n'avais même pas le choix de rester ou de partir. Mes parents ont décidé pour moi. Et voilà donc comment je suis arrivée dans cette ville de Brisbane, il y a bien des années de ça maintenant. Un nouveau continent, un nouveau pays, de nouvelles coutumes et façon de faire ou de vivre, une nouvelle ville. Un nouveau quartier, une nouvelle maison, une nouvelle chambre. Une nouvelle école. Je ne sais toujours pas pourquoi, mais il était clair que de voir une Irlandaise débarquer avait suscité pas mal de curiosités. Des rencontres sympathiques, mais aussi d'autres qui l'étaient nettement moins. Certaines de mes camarades de classe s'amusaient bien à me dire que je faisais mon intéressante avec mon accent bien différent du leur. Et pourtant, vraiment, j'étais très loin de l'appuyer exagérément juste pour faire genre. D'autant plus que je semblais les déranger. Pourquoi ? Pour les garçons, bien entendu. Et pourtant, je préférais nettement me concentrer sur mes cours et mes dessins plutôt que sur eux. Une fille qui débarque en plein milieu de l'année scolaire, venant d'un autre monde vu la tête de certains, forcément ça fait parler. Beaucoup trop à mon goût. Combien de fois ai-je pourtant préféré m'enterrer dans un trou de souris pour les fuir ? Chez moi, je n'avais jamais été au centre d'une attention aussi poussée. Je ne faisais même pas partie des nanas les plus populaires de l'établissement. Disons que je restais dans mon coin, avec mes amis de longue date, et cela me suffisait amplement. Bien entendu, je ne dirais pas qu'à peine arrivée, je suis passée dans cette case de popularité. Ou alors, je savais très bien qu'elle allait chuter subitement une fois le phénomène de nouveauté atténué. D'autant plus que je restais la même. A préférer la bibliothèque plutôt que la cour et ce genre de choses, à rester en retrait plutôt que d'aller sous les projecteurs. Et ça me convenait plus que bien. Mais ça, c'était sans compter sur une rencontre qui allait changer bien des choses..
Attablée à la bibliothèque, perdue entre mes notes et cette foule de livres ouverts et éparpillés devant moi, je tentais d'avancer sur un devoir d'Histoire. Cela faisait déjà une bonne heure que j'étais ainsi installée. Aucune déconcentration, aucune parole échangée avec quelqu'un ou même aucun regard se déportant de ma tâche. Jusqu'à ce qu'une chaise près de moi soit volontairement tirée en arrière et qu'une touffe blonde s'y pose, l'air de rien. Et c'est là que j'ai rencontré Archie. Le courant est directement passé entre nous. Pour preuve, je ne lui en ai même pas voulu de me déranger avec ce devoir. Et c'est comme ça qu'on a passé de plus en plus de temps ensemble. Jusqu'à finir par se mettre ensemble. Certainement bien aidé par Cassandre, sa sœur, alors même que j'ignorais qu'ils étaient jumeaux. Puis bon, elle m'a bien aidé à ne pas baisser la tête face à la connerie de ces gens dans cette école, qui me prenaient presque pour une bête dans un Zoo. Sérieusement, c'était bien pathétique, mais c'est la connerie habituelle des ados entre eux. Des souvenirs pas si agréables que ça, mais bon. Ces deux Solomos ont eu un rôle très important mine de rien, dans cette acclimatation face à tout ce lot de nouveautés toutes aussi folles les unes que les autres. Cassy en première, certes. Mais, Archie dès qu'il est entré dans ma vie. Forcément, ça calme un peu de voir un tel accompagnement. On était vraiment bien ensemble, dès les débuts de ce couple plutôt improbable -il faut le reconnaître-, même si la jalousie a rapidement pris la place de cette curiosité de la nouveauté.
On était jeunes, mais l'avenir nous souriait. Les études supérieures approchaient à grands pas et j'avais une belle bague à mon doigt. Le vrai bonheur, surtout que tout se passait à merveille entre nous et nos familles. Mais, ça, c'était avant que tout ne parte dans tous les sens. Des parents qui divorcent, forcément ça laisse des traces. Indélébiles. Et c'est pire encore lorsqu'on intercepte une discussion qu'on n'aurait pas dû. Et qu'on y apprend que son père est allé voir ailleurs, sans même regretter. Qu'ils se déchirent verbalement, alors que son petit monde tout rose et tout mignon finit par s'écrouler d'un coup. Me laissant glisser contre ce mur nous séparant, j'ai plongé droit dans un trou noir duquel je n'en suis toujours pas sortie. Toujours pas parce que cette séparation n'a pas seulement détruit le couple formé par mes parents, mais le mien aussi. J'étais tellement triste et perdue que je me suis renfermée sur moi-même, rejetant toute aide extérieure. Même celle que voulaient m'apporter les Solomos. Une véritable chute en Enfers sans moyen de garder -au moins- un pied sur Terre. C'est ainsi que je me suis retrouvée seule. Enfin, pas tout à fait encore puisque j'avais décidé de rester avec ma mère. C'était simplement sans compter sur ce dénis de trois bon mois de grossesse qui m'a éclaté au visage sans que je ne m'y attende. Les délais pour avorter étaient plus que tendus, du coup. Ma mère, en grande croyante qu'elle est m'a bien fait comprendre que je devrais y songer. Après tout j'étais trop jeune, pas mariée, séparée du père et encore en plein dans les études. Impensable. Je ne pouvais pas. Cette grossesse était tout ce qu'il me restait de cette relation que trop parfaite avec cet homme qui l'était tout autant à mes yeux. Puis, ce petit à venir n'y était pour rien. Je ne pouvais pas.. Même en relisant ce mail qu'Archie m'a envoyé quelques jours avant que j'apprenne cette grossesse et dans lequel il m'a clairement fait comprendre qu'il fallait que tout s'arrête entre nous. Ma mère m'a alors demandé de choisir entre sa maison et le petit. Ce n'était rien contre moi, je ne lui en veux pas. Elle voulait simplement me faire réaliser que tout allait changer. Elle m'a laissé quelques semaines pour trouver où aller. Moi qui travaillais un peu en plus de mes études, j'avais un peu d'argent de côté. Et pourtant, la décision de le garder m'a placé face à un dilemme pour savoir quoi faire de ma vie. Or, je n'étais plus seule. Je devais bien garder cela en tête. Alors oui, j'aurai pu toquer chez les Solomos pour tout leur expliquer. Ils m'auraient tendu la main, je le sais. Mais, ça non plus : je ne pouvais pas.
Sans le savoir, j'allais alors me mettre dans une situation encore plus délicate. Jacob, le grand ami d'Archie, m'a ouvert sa porte. En simple fraternité amicale avec Archie, d'après ses dires. Il savait très bien que c'était son blond de meilleur ami qui en était le père. Les jours, les semaines et même les mois se sont enchaînés. Et je logeais toujours chez Jacob. Ce n'était pas faute de visiter des appartements pour trouver mon propre "chez-moi", en attendant de pouvoir rentrer en Irlande, un jour du moins. Forcément, Jacob trouvait toujours autre chose à en dire. Trop loin des écoles, une rue qui craint un peu trop, un immeuble avec beaucoup trop d'étages pour une jeune mère célibataire qui se retrouverait embêtée avec ses courses et le gamin si l'ascenseur tombait en panne. Bref. Des raisons certainement -dans l'ensemble- justifiées, mais qui ne cessaient de retarder toujours un peu plus mon emménagement. Et quand, enfin, on a trouvé la perle rare dans ce fameux nouveau quartier, il m'a aidé à déménager, à me trouver du mobilier -surtout pour le petit- qui tient la route sans me coûter un bras. Pour tout ça, je l'en remercie, même s'il y a eu quelques petites choses étranges par moment. Comme il y a deux semaines tout juste. Laissant Néo jouer avec ses petites voitures, il s'est approché de moi, tentant de m'arracher un baiser. L'effet de surprise était à son apogée, même si j'ai trouvé la force de le repousser, surtout en entendant Néo s'exclamer de cette tentative demeurant infructueuse. Mais, quand même. Ca a jeté un froid entre nous. Surtout qu'Archie est de retour. Et qu'il me semble qu'on a énormément à se dire..
Infos en plus :
Je souhaite des colocataires : Pas spécialement..
Je souhaite être pris en charge à mon arrivée dans le quartier : Non, ça devrait aller
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