Stanislas Coleman
Je suis un : [X] personnage inventé [ ] scénario
Toi derrière l'écran
Ton pseudo/prénom : B'choux, Anaïs
Ton âge : 22 ans, bientôt 23 ans, oui oui j'y tiens.
Comment t'es arrivé là ? Nous cherchions, avec Poppy, un forum où installer nos persos d'amour après la fermeture du forum où nous étions #tristesse. Poppy a posté une annonce sur un groupe FB, et nous voici :D
Que penses-tu du forum ? Très beau, le design est magnifique, et je pense qu'on sera bien ici.
Présence : 7j/7, je passe souvent, en coup de vent, ou en m'installant pour la soirée. Ca dépend des jours, de mon emploi du temps, de ma vie.
Un truc à dire ? Adoptez moi (adoptez nouuuus). LOVE Informations :
Nom de famille : Coleman -
Prénom(s) : Stanislas Maddox
Lieu de naissance : Au Brésil mais il ne sait pas où vraiment. Sur sa carte il est écrit "Brasilia". -
Nationalité :Brésilien d'origines, de nationalité australienne -
Date de naissance : 12 juin 1989 d'après ce qu'on lui a dit, mais il sait qu'il n'est pas vraiment né ce jour là. -
Âge : 27 ans -
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle -
Statut civil : Célibataire, il aime les femmes, il fuit les relations sérieuses et plan-plan, il n'a pas envie de se faire chier tout de suite, sauf ... qu'il est amoureux de sa meilleure amie -
Métier : Chanteur/guitariste mais ce n'est pas comme si son duo avec Poppy leur ramenait masse de fric. Donc pout palier il joue les barmen dans ce genre de bar où la nudité est quasiment exigée, ce genre d'endroit qui respire la luxure, où le barman, torse nu, fout le feu au comptoir après t'avoir écrit son numéro sur le bras.-
Groupe : Oranges -
Date d'arrivée dans le quartier : Depuis la naissance du quartier, soit Décembre 2015.
Avatar utilisé : Diego Barrueco
Caractère/Physique :
Stan c'est pas un mec tranquille. Il est même du genre violent, mais c'est une violence qui rugit en lui. Et quand elle surgit, c'est toujours justifié. Il ne supporte pas qu'on se foute de sa gueule, qu'on le prenne pour un con et pire encore, qu'on touche à ceux qui lui sont chers et principalement à Poppy. Stanislas, c'est le mec surprotecteur, beaucoup trop d'ailleurs. Ca peut étouffer les personnes à qui il tient, mais il n'y peut rien. C'est un bousillé de l'intérieur, il se sent obligé de protéger, comme s'il en avait besoin. Comme s'il ne savait faire que ça. Parce que quand il aime, c'est rare, et surtout c'est d'un amour inconditionnel. Stan, il est prêt à tout pour faire le bonheur des autres, quitte même à se mettre en danger s'il le faut. Rien ne l'arrête. Mais Stan n'est pas si noir au fond, il se cache juste sous des mètres de murs blindés. Point barre.
Stan c'est le genre de brun mystérieux, bourré de tatouages, au regard sombre et au rictus qui dit "m'approche pas où je te dézingue". Pourtant ça ne fait pas fuir les nanas, au contraire, elles s'empressent, se jettent sur lui, espérant se faire bouffer.
Histoire :
1 la vie - C'est un mot assez complexe pour lui. Il ne comprend pas toujours le sens. Sa vie se résume à plusieurs morceaux, plusieurs ensembles mis bout à bout pour construire quelque chose de plus ou moins cohérent. Personne ne lui a jamais expliqué, encore moins sa mère qui l'a abandonné devant les portes battantes d'une vieille baraque au milieu de la favela.
2 la violence - Si aujourd'hui Stan peut avoir quelques accès de violence ce n'est pas parce qu'il aime frapper les personnes qui lui font face ou encore se mettre à hurler pour un oui ou pour un non. Trimballé de famille d'accueil en famille d'accueil, il n'a pas toujours fait de bonnes rencontres. Le premier homme à entrer dans sa vie se nommait Danny. C'était l'homme de la maison. Il était le chef et ne tolérait pas que l'on se rebelle. Stan n'avait que sept ans, l'âge de raison. Âge auquel on croit tout savoir, où on se rebelle. Danny ne supportait pas tout ça. il supportait pas qu'un gamin - qui n'était pas le sien - lui tienne tête. Les premiers coups sont vite partis. Puis d'autres les jours suivants et toujours plus, toujours plus fort. Danny défonçait Stan, clairement, jusqu'à ce que la DAS fassent une inspection et se rende compte de l'état dans lequel était Stan. Aujourd'hui Stan est toujours plein de haine et de rage, alors parfois, ça déborde, pas toujours quand il faut, mais il tente de se contrôler.
3 demie-mesure - Stan est du genre à ne vouloir rien foutre ou alors à vouloir tout faire en même temps. Y'a pas de demie mesure avec lui. Soit tout noir soit tout blanc. Alors, il aimerait ne rien foutre de ses journées, passer sa vie à jouer de la gratte, à caresser les touches noires et blanches de son piano, à faire voler les baguettes de sa batterie. Mais il est bien obligé de bosser, de ramener un peu de tunes pour payer ses paquets de clopes ou encore les tatouages qui ornent son corps. Et d'autres fois il se voit déjà en train de naviguer à gauche à droite sur sa bécane, Poppy s'accrochant fermement à lui, ses bras enlacés autour de son buste. Mais il n'a pas le temps Stan. Il peut pas se projeter autant. Alors il se laisse porter et il verra bien où sa le mène.
4 Poppy - Clairement, il a pas compris. Il pas pigé comment une fille comme elle pouvait se retrouver au fond du gouffre. Il a pas compris son regard triste, ni les traits marqués de son visage. Il a pas compris comment, d'un seul regard, elle pouvait le clouer sur place et remettre toute sa vie en question. Poppy c'est la tempête qui surgit d'un coup sans prévenir. C'est le feu qui ravage une forêt, c'est la grêle qui défonce ton pare-brise, c'est un coup de Lucille dans la gueule, ou plusieurs, à la suite. Poppy c'est l'amour et la haine dans un seul baiser. C'est des mots horribles sur des lèvres qui feraient se damner un saint. Poppy elle m'a prise, elle m'a accroché, elle m'a foutu à terre et ma cloué au sol. Je suis incapable de me relever, de m'éloigner d'elle, parce que je suis accroc. C'est un tout. C'est une partie de moi, comme je suis une partie d'elle. Elle m'a redonné espoir comme elle m'a retiré toute envie de continuer de vivre. Poppy c'est quatre exctas à la suite, c'est ma dose d'héroïne. C'est moi qui l'ai aidé à faire surface, à s'accrocher à la vie, et pourtant c'est elle qui me fait tenir debout.
5 la musique - Il a découvert ça au Brésil, quand il était gamin. Au départ il tapait juste sur de vieux bidons. Il faisait deux trois sons, rien de bien fou, il savait même pas ce qu'il faisait mais il savait que ça lui plaisait. Ressentir les vibrations dans ses paumes, ça le rendait vivant. Et il n'a jamais cessé. Il a d'abord appris à jouer de la batterie, seul, puis du piano, toujours seul et enfin de la guitare, son instrument favori. Il a commencé à reproduire des morceaux, à l'oreille, puis à ajouter sa voix. Il a vu que ça matché, alors il s'est entrainé, il a poussé, poussé, poussé... Il a joué dans la rue, dans de vieux bars pourris, dans sa chambre, au Lycée lorsqu'il y était. Et il y a eu Poppy. Bordel. Il a compris que c'était avec elle qu'il devait chanter et jouer, rien qu'avec elle. Elle avait la plus belle voix qu'il ait jamais entendu. La voix parfaite. La musique, c'est un drogue pour lui, il ne peut pas s'en passer. Ca le garde en vie, lui maintient les deux pieds sur Terre, bien ancrés dans le sol.
6 la moto - Stan, il a besoin de frisson, il a besoin de sentir son corps s'emballer, ses membres flageoler, trembler sous la pression. Il a besoin d'entendre son coeur résonner dans ses tympans, se sentir l'adrénaline le booster à fond. La moto, c'est ce qu'il a trouvé de mieux pour ressentir tout ça. La voiture ne lui permettait pas de prendre son pied pleinement. Mais la bécane ... ça le fait clairement bander. Il se laisse porter sur les routes de campagnes, il met les gaz et slalome, la puissance l'obligeant à s'accrocher fermement au guidon. Mais ce qu'il aime par dessus tout c'est prendre Poppy en passagère, lorsqu'elle entoure son torse de ses petits bras fins, lorsqu'elle presse sa poitrine contre son dos, quand elle le sert un peu plus fort quand elle a peur. Voilà ce qui lui plait. Alors il a dit adieu à la caisse et bonjour à la bécane.
7 la surprise - Il a appris récemment qu'il était papa. L'une de ses conquêtes d'un soir, ou de quelques jours peut-être, était tombée enceinte et avait décidé de garder le bébé. Stan n'en a jamais rien su. Et il a reçu cette foutue lettre, ce courrier l'informant qu'il n'avait pas le droit d'approcher de moins de dix mètres de sa fille. Sa fille ! Stan a pété un plomb. Il a appelé tous les organismes possibles, et il a su. Il a su qu'il était père d'une petite fille de quatre ans, que la mère de la petite était morte dans un accident de voiture mais qu'elle avait eu le temps de poser une restriction avant de mourir prématurément. L'enfant allait vivre chez ses grands parents et ne connaitrait pas l'existence de son père. Un sacré coup de massue dans la gueule de Stanislas.
8 la drogue - Stan a pété un plomb. Il n'a rien dit à Poppy, il ne voulait pas l'alerter, il ne voulait pas qu'elle sache qu'il pouvait lui aussi faire de grosses conneries, comme baiser sans capotes. Il voulait pas non plus qu'elle sache qu'il était père et que cette idée le rendait malade. Malade de savoir ça, malade de ne pas connaitre son enfant, malade de savoir qu'il ne pourrait JAMAIS approcher son enfant. Alors il s'est raccroché à ce qui pouvait lui redonner le sourire. Au départ c'était pour tromper Poppy, pour lui faire croire que tout allait. Les paradis artificiels l'ont pris corps et âme et il ne veut plus les lâcher. Il en a trop besoin. Besoin pour faire face à cette merde, pour garder la tête hors de l'eau, pour conserver son masque. Il se laisse porter. Pour l'instant, tout va bien. Mais il sait qu'il ne finira pas comme l'Ex de Poppy, jamais.
9 la boxe Il est violent Stan. Il a vécu de sales trucs, vus de sales trucs, il s'est mangé des beignes dans la gueule pendant deux ans. Son père d'accueil était une vraie raclure. Il avait besoin de se défouler, Stan était là, c'était qu'un gosse, il essayait d'apprendre la vie, sauf que ça plaisait pas à l'autre connard, alors il le démontait. Du sang, il en a vu, beaucoup, et trop tôt. Il a rapidement appris que la vie c'était une vraie chienne, il encaissait, il fermait sa gueule. Il a compris qu'avant de savoir riposter, il fallait apprendre à encaisser. Ca l'a détruit, toute cette histoire l'a brisé, le sang, les pleurs étouffés dans les draps, le visage tuméfié, les coups de pieds et de poings dans la tronche... Il était jeune. Personne ne devrait subir ça. Deux ans. Ca a duré deux ans avant qu'on le sorte de là. Mais c'est resté gravé dans sa chair, dans ses os, à jamais. Son âme porte les séquelles de cette maltraitance. Il ne le montre pas, c'est pas une fiotte. Il est fort. Il ne montre pas ses faiblesses, plutôt crever. Alors oui, Stan est parfois violent. Il lui arrive de démonter des mecs, mais ils le "méritent" toujours. Il n'attaque que ceux qui s'en sont d'abord pris à ceux qu'il aime ou à lui même. Il tabassent ceux sont violents, ceux qui font du mal, qui blessent. Mais, pour éviter au maximum de taper sur des personnes, il a décidé de se mettre à la boxe. C'est virile la boxe. Ca lui plait. Et ça plait à Poppy, il le sait, il voit son regard lorsqu'elle l'accompagne aux entrainements. Et il aime ça.
10 la coloc' C'était son idée à Stan. Ils étaient fauchés, ils s'aimaient déjà beaucoup, fallait qu'ils trouvent un moyen de s'en sortir, de vivre mieux et Stan avait besoin de s'échapper du taudis dans lequel il vivait. Alors ils ont décidé de vivre ensemble, dans cet appart'. Deux chambres, une salle de bain, une cuisine, un salon. Le grand luxe. Stan ayant le salaire le plus stable, il se charge de gérer les dépenses et ça lui plait. Il s'est chargé d'une mission : sauver Poppy, prendre soin d'elle et lui apporter tout ce dont elle a besoin. C'est sa "gestion", comme il l'aime l'appeler. Il doit prendre soin d'elle. C'est comme ça. Ils vivent comme un couple mais sans les désagréments. Pas de prises de têtes, pas d'engueulades merdiques, pas de routine. Mais pas de sexe non plus. Ils font leur vie. Chacun fait ce qui lui plait. Lorsque la pression est trop forte, Stan sort faire un tour mais ça n'empêche pas Stan d'avoir envie de ligoter Poppy à son lit pour l'empêcher d'aller baiser à gauche à droite. Il ne le supporte pas. Parce qu'au fond,
il veut Poppy.Faire des courses de caddie avec Poppy
› Manger des burgers, des pizzas et des sushis toute la semaine
› Ne pas aller bosser
› Se refaire tous les épisodes de Walking Dead
› Fumer, fumer et encore fumer
› Cuisiner, un peu, pour le chiot (Puppy)
› Aller bosser, mais y aller en trainant des pieds
› Baiser des brunes, grandes, et sans formes pour ne plus penser à la petite blonde pulpeuse de la maison
› Gratter pendant des heures, fredonner et écrire de nouveaux textes
› Courir jusqu'à l'épuisement
› Regarder Poppy dormir, la réveiller lorsqu'elle fait un cauchemar, la prendre dans mes bras
› Ne pas fermer l'oeil de la nuit
› Défoncer la gueule d'un mec qui lui manque de respect
› Me faire péter l'arcade sourcilière et ne pas aller à l'hosto
› Lui hurler après parce qu'elle a finit le rouleau de papier chiotte
› l'écouter me raconter ses histoires, pendant que je pisse la porte ouverte parce qu'elle déteste parler à travers une porte
› essayer de manger plus sainement
› faire des courses sans acheter de merdes, et échouer lamentablement
› fumer des gros splif avec Puppy
› Songer à céder à sa demande et lui prendre un chat
› Penser à nourrir Flipper de temps en temps
› Boire beaucoup d'alcool, tenir les cheveux de Poppy pendant qu'elle vomit et rire, encore et encore...
Infos en plus :
Je souhaite des colocataires : (oui ou non / ou rejoindre une colocation existante)
Je souhaite être pris en charge à mon arrivée dans le quartier : (souhaites-tu un rp pour ton arrivée, avec l'un des membres du forum ?)
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