Evangeline Adams
Je suis un : [X] personnage inventé [ ] scénario
Toi derrière l'écran
Ton pseudo/prénom : Alice
Ton âge : Tout juste 19 !
Comment t'es arrivé là ? Partenariat
Que penses-tu du forum ? Je trouve le principe du RP libre intéressant, pour moi qui n'aime pas les RP de 30 lignes, c'est parfait !
Présence : Normalement, je devrais pouvoirs passer tous les jours.
Un truc à dire ? Hâte de pouvoir commencer ! Informations :
Nom de famille : Adams -
Prénom(s) : Evangeline -
Lieu de naissance : Londres, Angleterre -
Nationalité : Anglaise -
Date de naissance : 18 août 1993 -
Âge : 23 ans -
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle, du moins jusqu'à preuve du contraire -
Statut civil : Célibataire -
Métier : Web designer -
Groupe : Blueberries -
Date d'arrivée dans le quartier : Il y a deux mois.
Avatar utilisé : Lyndsy Fonseca
Caractère/Physique :
Evangeline est une fille bien compliquée à cerner. D'apparence, elle paraît froide, fière, voire arrogante. Et elle l'est, avec les personnes qu'elle ne connaît pas. Il lui faut du temps pour faire confiance à quelqu'un. Mais quand on arrive à gagner sa confiance, on découvre une fille très différente, espiègle, drôle, parfois même un peu timbrée. Evangeline n'est pas du genre à hésiter et à se poser des questions, elle fonce toujours, et après, « ça passe ou ça casse ». Elle n'hésite pas à donner son avis, et se fiche bien de ce qu'en pensent les autres. C'est le genre de fille qu'on peut aimer et détester à la fois. Mais comme n'importe qui, il lui arrive d'avoir le cafard, de se replier sur elle-même, et dans ces moments-là, tout ce dont elle a besoin est d'un ami à qui se confier.
Evangeline ne se trouve pas spécialement jolie, mais à vrai dire, elle se fiche bien de son physique. Ce qu'elle préfère chez elle, ce sont ses yeux, bleu glacier, capable d'hypnotiser n'importe qui. Elle se trouve trop grande, bien qu'elle ne mesure pas plus d'un mère soixante-quinze.
Histoire :
« Je suis née en Angleterre, plus précisément à Londres. Je n'aime pas parler de mon enfance, car ces années ont été compliquées pour moi. Mes parents étaient tout le temps pris par leur travail, ils n'avaient jamais de temps à nous accorder, à moi et à ma petite sœur, Anastasia. Notre grand-mère vivait avec nous depuis la mort de son mari, et c'est elle qui nous faisait à manger, qui nous lisait des histoires le soir et qui allait nous chercher à l'école.
Tiens, l'école, parlons-en ! Les pires années de ma vie. À l'époque, je m'habillais plutôt bizarrement, il m'arrivait de venir à l'école en tee-shirt à tête de mort, jupe plissée d'écolière et ballerines roses fuchsia, ce qui fait que dès mon premier jour, on m'a cataloguée "bizarre" et jamais personne ne m'adressait la parole. À part, bien sûr, pour se moquer de moi. Au début, je me fichais pas mal d'eux, mais à force, je n'en pouvais plus. Je faisais des cauchemars horribles et chaque matin, je pleurais avant d'aller à l'école, je pensais même à sécher, bien que je n'avais que huit ans. Ma grand-mère a fini par parler de tout ça à mes parents, qui m'ont inscrite dans une autre école, où les gens étaient beaucoup plus tolérants. Maintenant, je me dis que je valais beaucoup mieux que ces gens, et que je n'aurait pas dû les laisser m'atteindre. C'est sans doute à cause de cet épisode de ma vie que j'ai du mal à accorder ma confiance aux gens.
Tout allait pour le mieux jusqu'à la mort de ma grand-mère, le 17 août 2008. La veille de mes quinze ans. Je me souviendrais de cette date éternellement. Ce fut la pire période de ma vie. Comme ma grand-mère m'a élevée et s'est occupée de moi quinze ans, sa mort m'a énormément affectée et je me suis renfermée sur moi-même, j'ai failli entrer en dépression. Et puis, c'est là que je me suis dit que la vie continuait, et que ma grand-mère n'aurait pas voulu que je la gâche à cause d'elle. J'ai donc arrêté de pleurer, j'ai recommencé à parler aux gens et j'ai continué mes études.
J'ai déménagé en Australie pour mes études de web designer. C'est là-bas que j'ai rencontré celle qui est devenue ma meilleure amie, là-bas que j'ai eu mon premier petit ami, je m'y sens très à ma place. Je ne parle plus beaucoup à mes parents - après tout, ils n'ont jamais fait très attention à moi -, par contre, je parle souvent avec ma sœur. Elle me manque parfois, bien que nous n'ayons jamais été très proches, mais pour rien au monde je ne reviendrai en Angleterre. J'ai enfin trouvé ma place. »